jeudi 9 février 2012

Angers sous la neige

Jeudi soir, 17h30, une deuxième journée de travail se termine à la ferme de Tobi, près du village de Lütisburg, quelque part au nord de Zürich, dans la campagne suisse allemande. On est arrivés mardi midi, soit le 7 février. Malgré un retard de métro et un peu de stress, on a pu prendre notre train sans problème de Paris à Zürich. De là, un autre train nous a emmené dans la petite ville de Wil où notre hôte est venu nous chercher. Mais avant de vous parler plus en détails du woofing, il me reste à vous raconter nos deux dernières journées en France.

On s'est donc levés dimanche matin avec un drap blanc sur la ville et deux Françaises toutes énervées dans l'appartement. Une inévitable bagarre de boules de neiges dans le stationnement devant chez Orlane et on était prêts pour une balade le long de la Maine, avec vue sur le château d'Angers (en réparation). On a fait un peu d'observation d'oiseaux sur la lac du Maine, puis on s'est rendus au château en espérant que le verdict entendu le matin au téléphone ait changé. En vain. Le château est fermé pour ... intempéries !!! Traduction : quelques centimètres au sol. Il ne neigeait même pas durant la journée, c'est une grosse blague. En plus, comme c'était le premier dimanche du mois, la visite aurait été gratuite. Tant pis ! On est rentrés manger, puis on a eu la visite du frère d'Hélène.

Le lendemain, lundi, lever matinal pour prendre notre co-voiturage vers Paris. On a passé la journée au Muséum d'histoire naturelle. Une des amie d'Hélène, avec qui elle a justement étudié à cet endroit, y travaille toujours. On a dîné avec elle. Elle nous a prêté une passe ce qui nous a permis de visiter gratuitement le musée de paléontologie. On avait laissé nos bagages dans un dépôt à la gare et on les a repris vers 18h, heure à laquelle Hélène prenait le train pour Marseille. Antoine et moi étions attendus chez Yohann, un ami qui a étudié à Rimouski. On a soupé seuls avec lui dans son petit appart parisien, car sa blonde, que je commence à croire imaginaire (ben non !), avait un souper avec des amis. On a rigolé sur fond de télé-réalité de chefs cuisiniers ridicule et on s'est préparés pour un autre lever matinal. Direction : Suisse !!

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